J’osais deux mots à "Raïs"
Fera-t-il des vieux os après une telle raclée au Derby et joindre ainsi la liste des évincés par la peau des fesses, victimes des fusils d’assaut du Général. Comme d’autres, notamment "Cabral la science", le José n’a pas compris la mécanique du Derby.
Il y a au moins deux dénominateurs communs :
1-Le prénom "José" n’est pas soluble dans le Derby. Les deux "José", brazilinho et português, ont eu pour leur grade pour l’avoir mal compris.
2-On en arrive presque à penser que le portugais est une langue morte dans le Derby. Après le carioca Cabral, voilà le druide des Açores, deux lusophones voués à l’échec et à la sanction ! .
Le pauvre Caboral-chef, même premier de la classe, était pointé comme le cancre de la caserne après chaque bataille des "frères ennemis". Il en a essuyé deux à son détriment. Il n’a fait que rendre les armes et les godasses. Et Meddeb de dégainer, de le flinguer à bout portant et de lui trouer la peau à la sortie de chaque Derby. Même invaincu, il devrait être défait, sans haie d’honneur, tout juste s’il a eu le temps d’en faire un baroud. Il y a certes des salves, non d’applaudissements mais de prunes. Le brazilinho s’était ramassé la gamelle et à la petite cuillère.
Loti à la même enseigne, le divin chauve nous a décoiffés de tant d’arguments tirés par les cheveux, voire par les sourcils. Pourtant, les fesses bien calées sur le banc, il n’arrêtait pas de gribouiller. En termes de tactique et de coaching, il faut repasser ! Est-ce un poète contrarié qu’un concours de circonstances a largué sur le bord de touche ? Quelle frénésie il met pour écrire, on dirait qu’il rédige son dernier testament, à moins qu’il soit entrain de griller quelques neurones pour comprendre la suite arithmétique -7-5-3-1+2.
A lire au second degré et avec modération !