Quand l’ignorance frôle l’insulte !
Une "Dakhla" mkachkha au propre et au figuré.
"De Vinci code" n’a rien à voir réellement avec Léonardo de Vinci ni avec Rome. Il s’agit d’un roman écrit en 2003 par Dan Brown, adapté au cinéma en 2006 par Ron Howard avec Tom Hanks comme acteur principal. C’est l’histoire d’un homme (conservateur du musée Louvre), assassiné par une balle dans les boyaux car il détient un secret dont la révélation ferait voler en éclat les fondements de la Chrétienté, à savoir que Jésus et Marie madeleine étaient amants et qu’un enfant, fruit de cette relation, a vu le jour. Agonisant et déterminé à dévoiler ce secret à sa petite fille, le conservateur du musée Louvre a griffonné sur le sol un message codé et a pris une position étrange mais très significatif : Nu et les bras et les jambes écartés en forme de croix, position semblable au célèbre dessin de Léonard de Vinci "l’Homme de Vitruve".
La seule similitude entre le Derby/Dakhla et "De Vinci code" est certainement la position de Kasraoui (bras et jambes écartés) rampant pour sauver un but déjà consommé. Le conservateur du but espérantiste évoque singulièrement celle du conservateur du musée Louvre, les habits en moins et la vie sauve ! La tronche ravagée de Mister Fair Play, après le but, évoque un homme incapable de comprendre le profond secret que dissimulent les prouesses techniques répétées de Chaabola lors des Derbies. Oui, il y a du Léonardo de Vinci dans Moina Liza !!Une telle mêlée de pinceaux ne serait pas pour déplaire au célébrissime peintre. C’est même décoiffant dans la mesure où c’était bien le "coiffeur" (sans aucun mépris ni pour la fonction ni pour la personne) qui a gominé l’idée, elle-même grandement tirée par les cheveux.
Une proposition de prochaine Dakhla espérantiste :
E= MC², avec pour légende "Einstein Code". Et le "coiffeur" viendra, pile poil, pérorer sur le brushing atomique ou le défrisage nucléaire. Au fait, E= MC² n’est rien d’autre que Echec= Moine Chaabani² sinon EST= Moine Chaabani². Tout le monde a remarqué, qu’après son beau but contre son camp, Chaabola a épinglé férocement Besala. Tiens ! Un Chaabane qui massacre un Janvier, qui plus est un 1er Mai, il n’y a que Lemkachkha pour nous offrir un tel désordre entre les calendriers grégorien et hégire!Les bougres, ils ont en perdu et la boussole et la face, Bienvenue chez les Lemkachkhines.
Étant fair-play, un mot bien ''fantomatique'' pour certains, à ne pas confondre avec ''oûbbithatique'', on ne peut qu’apprécier la forme, puisque certains passages sont bien exquis ... à vrai dire
Mais s’il fallait s’arrêter sur «waylon lil mossallina» et traiter le propre, plutôt que le figuré ... comme la nuance Da Vinci Code vs le personnage de Leonardo Da Vinci... il y a de quoi relever des incohérences bien ''sympathiques'' (C le but du jeu n'S pas?
), sans devoir à entrer dans les détails, non pas tirées par les cheveux pour ne pas décoiffer l'auteur – l’intention n’y est pas en tout cas -, mais plus par les oreilles, celles du ''bougrissime'' … Sellami justement, encore égratignées, faut-il bien le rappeler, suite à un geste non moins célébrissime ... la danse de l’autruche.
Bref, s’il fallait résumer le texte plus haut, c’est l’hôpital que se fout de la charité … si on devait faire également un parallèle avec un autre édito publié par ailleurs et qu’on a si mal apprécié… alors faut-il bien prendre le tout avec un brin de philosophie, après tout, ce que serait le sport sans partisannerie … encore faut-il savoir prendre parti-sans-ânerie.
Car tenir rigueur à une ''œuvre'' … qui ne prend pas inspiration dans les bassesses de l’Afrique, continent loin de la Tchétchénie mais où Aba demeure «sibérique», est à la limite bien soporifique … et au risque de froisser certains authentiques … voir Da Vinci regarder dans un miroir dont le ''code'' ... réflexif est si éclectique ... à la lumière d’une ''dakhla'' si chorégraphique … ne devait pas créer tant de remous bien folkloriques.
Perdre le ''nord'' après une victoire épisodique au derby n'est finalement pas si dramatique, ce n’est pas nouveau pour le virage désertique, comme sur une piste athlétique, mais qd bien même le concombre devient le culte de certains bourriques, on trouve que «la vita è bella con voi» malgré tout, non sans jouer aux amnésiques, un exercice où les clubistes excellent, en aimant se raconter des histoires bien féériques.
P.S.: Les sujets étant verrouillés, G dû en ouvrir un autre.
P.S.: Bishte, Coustaud ... C un peu recherché ... il y a la danse aquatique ... où Nefzi avec son enchainement de Sousse après celui d'El Menzah en Coupe peut inspirer plus d'un!