DEBAT: TUNISIE - MAROC, VENEZ EN DISCUTER AVEC LES MAROCAINS

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Messagepar hamimou » Lun 03 Oct 2005, 20:09

ta pa un copain avec qui tu peu partagé l tele?
forza léfri9i
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Messagepar CAMUS » Lun 03 Oct 2005, 22:13

Ceux qui ont acheté le e-dinars sans pouvoir acheter les billets peuvent les rendrent à la poste :wink:
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Messagepar Chroufa » Mar 04 Oct 2005, 08:11

CAMUS a écrit:Ceux qui ont acheté le e-dinars sans pouvoir acheter les billets peuvent les rendrent à la poste :wink:


C'est vrai mais ils ont du perdre 1,5DT pour chaque mandat postale :twisted: alors imagine un peu le gain que se fait la Poste :twisted:
OOh mon bon Dieu : juste une baguette magique pour rajeunir les ROUISSI, M7AISSI, TOUATI, et les autres et les faire rejouer au CA.
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ce que pensent les marocains...

Messagepar tristan » Lun 10 Oct 2005, 13:24

Tunisie-Maroc : Le onze national méritait mieux

09.10.2005 | 13h24


Le onze national ne participera pas au Mondial que l'Allemagne accueillera l'été 2006. Cette élimination, l'équipe nationale du Maroc n'a pas à en rougir. Les équipiers de Chemmakh, auteur des deux buts du Maroc, auront fourni une très belle partie.

Tactiquement, Roger Lemerre qu'on présentait comme le Mage du football tunisien a été contraint d'opérer trois changements, dès le départ, en se passant des services de Clayton, Santos et Slim Benachour. Trois pièces maîtresses du dispositif tactique cher à l'entraîneur français. Une attitude qui démontre que cette équipe de Tunisie pouvait être battue même si on la présentait comme l'ogre de son groupe (après ses succès au score fleuve contre le Kenya et le Malawi.) Mais, samedi, l'entraîneur national Badou Zaki (qui a incriminé l'arbitrage dans sa conférence d'après-match) a su démontrer son savoir-faire en asphyxiant le technicien français dans l'antre du 7 novembre de Radès.

Ce sont les Marocains qui prendront la direction des opérations puisque Chammakh va plonger le public du coquet mais minuscule stade de Radès dans le désarroi. [b]Le but marqué à la 2e minute va instaurer dans les gradins un silence à couper au couteau. Les Tunisiens pris au dépourvu vont tergiverser par le biais d'un nombre incalculable de passes à l'adversaire. Des passes qui, à chaque fois, suscitaient la colère du “12e homme”. Le speaker du stade a beau haranguer les supporters.[/b]

Rien n'y fait ! Malgré sa réputation, cette équipe n'avait rien d'extraordinaire. Une défense loin de rassurer, un milieu de terrain énervé par celui qu'on désignait comme le régulateur, ( Riad Bouazizi), des attaquants (Ziad Jaziri et Santos, terreurs des buts adverses) mis sous l'éteignoir. Autant de facteurs qui ont encouragé Zaki et ses hommes à prendre de l'ascendant sur un adversaire qui commence à douter.

Mais dommage ! Un arbitrage venu, comme un cheveu dans la soupe, a su “ intelligemment ” mettre un frein à l'enthousiasme débordant des Marocains. L'arbitre égyptien a fait preuve d'une mauvaise foi manifeste. Le carton rouge sorti à l'encontre de Safri était injuste. Alors que d'autres actions similaires des Tunisiens n'entraînèrent même pas d'avertissement verbal. :?: :?: :?:

Une autre marque de mauvaise foi, celle de ce carton rouge pour Talal El Karkouri sans s'assurer que c'était le joueur en question. Tout cela ajouté à des scènes de simulation de joueurs tunisiens, a fini par déstabiliser les Marocains. Pourtant, nos joueurs surent se ressaisir. Une autre action sous forme d'alerte devant les bois et Chammak à l'affût marque le second but du Maroc et replonge Radès dans l'incrédulité. Jamais le onze tunisien “invincible” ne s'était trouvé dans pareille posture. Alors que l'on s'achemine vers un match tenu à bras le corps, l'arbitre de la partie (encore lui !) va consulter son juge de touche.

Ce dernier n'a même pas caché son geste qui signifiait un coup de coude (si coup de coude il y a !) de Ben Asker à l'encontre de Jaziri. Le défenseur marocain est prié de regagner les vestiaires, incapable de comprendre ce qui lui arrive.

Dans tout ça, on ne voyait pas venir l'égalisation. Elle est arrivée de manière stupide, incompréhensible. Le coup était trop dur.
A dix, le Maroc voyait ses chances qui s'amenuisent sans comprendre. Ni les entrées de Moha, ni celle de Bousaboune n'allaient apporter quelque chose de positif.

En tous les cas, le onze national a été irréprochable. 2 partout à Radès. Il a terminé la course, seule équipe nationale invaincue dans toutes les éliminatoires de la zone Afrique.

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Messagepar tristan » Lun 10 Oct 2005, 13:25

Le Maroc rate le mondial

Ambiance crispée et tendue en plus d’erreurs individuelles des joueurs ont ponctué le match Tunisie-Maroc samedi 8 octobre à Radès. Tenue en échec 2-2, l’équipe nationale n’a pas réussi son pari de qualification au Mondial 2006.

Les Lions de l’Atlas ne seront pas présents en phases finales de la Coupe du monde 2006 en Allemagne. Même leur qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations qui se tiendra du 20 janvier au 10 février en Egypte n’est pas pour effacer la déception du voyage raté au pays de Beckenbauer. Samedi 8 octobre à Radès, les poulains de badou Zaki, malgré une belle entame de la rencontre qui les a opposés à la Tunisie pour le compte de la 10ème et dernière journée de qualification de ce groupe 5, ont flanché lors de la seconde période.
D’emblée, Marouane Chemmakh réussit à faire trembler les filets du keeper Ali Boumnijel, deux minutes à peine après le coup de sifflet de l’arbitre égyptien. Mais la réplique des joueurs de Roger Lemerre ne tarde pas. Un quart d’heure plus tard, José Clayton égalise sur penalty avant que le même Chammakh ne double la marque à la 42ème minute, permettant à ses co-équipiers de rejoindre les vestiaires devant la stupeur des dizaines de milliers de spectateurs présents au stade de la banlieue tunisoise.
Un avantage qui n’allait cependant pas durer longtemps. Dès l’entame, les Tunisiens prennent d’assaut les buts du keeper marocain. A la 68ème minute, leurs vœux de qualification s’exaucent via un but marqué par Talal Karkouri contre son camp, effaçant le rêve de millions de Marocains de voir évoluer leur équipe nationale dans le plus prestigieux rendez-vous footballistique mondial. Et ce derby maghrébin de se terminer sur le nul 2-2 ne dérogeant pas de cette manière à la tradition des chocs maroco-tunisiens se soldant la plupart du temps sur un nul.
Avec 21 points, les Aigles de Carthage ont confirmé leur statut de leader sur le groupe 5 devant le Maroc, la Guinée, le Malawi, le Botswana et le Kenya. Mais il ne faut pas se leurrer. Les poulains de Zaki n’ont pas perdu leur qualification à Radès. Ce sont leurs matches nuls concédés contre le Malawi (1-1) et le Kenya (0-0) à l'extérieur, et la Tunisie à Rabat (1-1) tout au long des qualifications qui les ont éloignés du terminus allemand.
La Tunisie sera présente l’année prochaine à son quatrième mondial, représentant l’Afrique aux côtés d’équipes qui feront le voyage pour la première fois : l’Angola (groupe 1), la Côte d'Ivoire (groupe 2), le Ghana (groupe 3) et le Togo (groupe 4). Les équipes à la grande tradition footballistique, absentes du mondial, devront se consoler en Egypte.

Le 10-10-2005
Par : Fadoua GHANNAM
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Messagepar tristan » Lun 10 Oct 2005, 13:26

le Maroc n'ira pas au Mondial 2006

Nous n'irons pas à la Coupe du Monde en 2006. Nous n'avons pas pu gagner la Tunisie dans cette ultime rencontre de Radès et cela était prévu avant ce déplacement de la dernière chance. Car il faut avouer que la qualification nous a échappé bien avant cette rencontre. Zaki, critiqué par la quasi-totalité de la presse, n'a jamais fait l'unanimité et n'a jamais su gérer un groupe qui, pourtant, avait les meilleures dispositions pour aller au Mondial.





Obsédé par une discipline qu'il voulait rigoureuse, l'entraîneur avait fini par créer une véritable psychose au sein du groupe.

L'affaire Neybet aurait pu être gérée autrement, mais non pas à la manière de chiffonniers comme le public l'a vécue sur le plateau de Saïd Zadouk lors de l'émission sportive dominicale. Nous avons pu avoir une idée sur le degré d'intelligence d'un entraîneur qui est resté rigide quant à ses prises de position.

Il serait sorti grandi s'il avait laissé de côté son orgueil et tourné une page difficile des relations entre les deux hommes. Le Maroc avait encore besoin, en particulier pour ce match, de l'ex-capitaine des Lions. Son expérience et son influence psychologique sur le groupe auraient été déterminantes. On a vu la fébrilité de notre défense lors de cette rencontre qui nous a valu par deux fois l'égalisation des Tunisiens. Peut-on aussi reprocher aux responsables fédéraux de n'avoir pas pu tenter une médiation entre les deux hommes, qui pourtant ont été de grands professionnels?

Zaki fait partie de ceux qui n'ont jamais accepté les critiques, fussent-elles positives, ce qui a rendu ses relations avec la presse nationale des plus difficiles allant jusqu'à l'insulte et les procès. Depuis l'entame de ces éliminatoires, Zaki a montré ses limites dans ses choix tactiques et les victoires acquises n'ont jamais été convaincantes. Il se satisfaisait du résultat, faisant fi des reproches des uns et des autres. « Ceux qui veulent le spectacle n'ont qu'à aller au cirque. » a-il lancé à l'un de nos confrères qui l'a, un jour, interpellé sur le fond de jeu de l'équipe nationale.

Drôle de réponse pour un technicien, pourtant porté aux nues après la finale perdue contre ces mêmes Tunisiens lors de la CAN 2004. La Tunisie, donc, se retrouva sur notre chemin dans ces éliminatoires du Mondial 2006 et de la CAN 2006.Lorsque nous avons été contraints au nul à Casablanca, il était évident que les Aigles de Carthage allaient nous faire souffrir et douter. Surtout quand on connaît la présence et donc l'influence des dirigeants, au sein des plus grandes instances du football continental et mondial et leur propension à mettre en marche une machine qui déstabilise l'adversaire le plus coriace.

Leur dernier match contre le Kenya en est une preuve supplémentaire et l'histoire révèlera un jour les dessous de cette affaire où il fut question de sous et non pas de football. L'autre nul concédé contre ce même Kenya nous a fait encore plus douter car ce sont finalement quatre points de perdus et un rêve qui s'envole bien avant le voyage de Radès. Il ne restait donc plus qu'une victoire, rien que la victoire pour le sacre. On savait Zaki très frileux quant à un véritable schéma offensif d'où les appréhensions du public. Même en jouant à domicile, notre équipe nationale évoluait la peur au ventre. L'essentiel pour le technicien était de ne pas perdre et pourtant les attaquants faisaient preuve de beaucoup d'ingéniosité. Et pourtant on s'était mis à croire à un Zaki plus prompt à donner plus de liberté aux médians et plus de soutien aux attaquants.

Après le premier but, les appréhensions se sont estompées car avec un 3-5-2 Zaki, pour une fois, donna véritablement l'impression de vouloir faire la pression sur ses adversaires même si le choix d'un Boukhari dans l'entre jeu fut discutable. On a apprécié la pondération de Safri du moins jusqu'à sa blessure, le calme olympien de Chemakh et Hajji, la détermination de Benaskar, les velléités de Kaddouri, mais le schéma pris des allures plutôt défensives aussi bien après le premier que le deuxième but. Les erreurs du gardien Lemyaghri, sur les deux buts tunisiens ne sont que la résultante d'une tactique calamiteuse où Zaki n'a pas voulu donner plus de moyens à un compartiment offensif où seul Chemakh était présent.

La sortie de Safri fut l'un des tournants de cette rencontre. A ce jeu, il était évident que les Tunisiens finiraient par avoir gain de cause. Et pourtant ils étaient prenables chez eux. Leur second but a surpris même Lemerre qui a longtemps douté et qui fut tout heureux de l'aubaine offerte par quatre défenseurs et le gardien marocain tous incapables de repousser un ballon perdu. Notre élimination était attendue en dépit du courage de quelques valeureux gaillards.

Elle aura certainement des conséquences fâcheuses sur le football national déjà en proie à des grincements de dents et des démissions en cascades de présidents de clubs. Il est certain que Zaki n'est pas seul responsable. Ceux qui avaient prévu un tel scénario et qui n'ont pas réagi à temps sont tout aussi condamnables.




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Messagepar Bayari » Lun 10 Oct 2005, 13:44

La mauvaise foi de l'auteur du 1er article est flagrante ainsi il parle d'un stade miniscule en tout cas ce ne sont pas leur 400 à 500 Marocains qui risquaient de le remplir l'antre des 60.000 spectateurs pour un pays à 11 Millions d'habitant!
Ensuite il change les donnes en aprlant du carton rouge comme s'il arrivait avant el 2è but alors qu'il etait à un quart d'heure de la fin; il dit que Zaki a bloqué RL et designe le caoching comme une faillite or le merite des Grands coachs est d'assurer ceci; c'est Zaki qui a falli avec le changement de Sefri; ce n'est pas la faute des Tunsiiens si Ben Askar a décidé de jouer au foot du rue en jettant son coude; le peno etait plsu que valable alors Mr le Marocain regarde pendant le mois de Juin Soiyadek les Tunisiens jouer en Allemagne devant ton téléviseur poru la 2è fois apres 2002!
La on egalise en qualifs vous etiez la en 70 & 94 (ridicule); 86 (chapeau) & 98 (tjrs le meme probleme pas de gardien) nous on y va pour la 4è fois et on est juste derrière le Cameroun
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Messagepar VELVET SKIN » Lun 10 Oct 2005, 13:57

J'adore ce genre d'article ! Minuscule...simulation, Roger battu tactiquement et je ne sais quoi d'autre :) on retiendra seulement celui qui est passé au mondial, alors on peut dire ce qu'on veut :viva: faut dire aussi que se faire éliminer sans perdre un match ça fait mal, très mal :mrgreen: Ne pas organiser le mondial, rater la finale de la coupe d'afrique et ne pas se qualifier au mondial, ça fait beaucoup :fuck1:
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Messagepar Bejaoui » Lun 10 Oct 2005, 14:58

j'au lu un article enligne sur un journal marocain LE MATIN apres notre qualification qui critique à juste titre l'entraineur Zaki mais qui insinue que les tunisiens ont acheté le match du Kinia et que les tunisiens usent de leur influence aupres des instances internationales du sport. j'ai repondu à ce journaliste par le biais de leur boite mail. Voila la teneur de ma reponse.
Monsieur, je suis heureux de decouvrir que la petite Tunisie a un tel poids geostrategique pour influencer le cours des eliminatoires, pour une dizaine de millions d'âmes c'est en effet suspect de se quamlifier à la ccoupe du mone 4 fois, dont trois fois de suite. C'st en effet incomprhensible d'etre plusieurs fois champion d'afrique et arabe en handball et volley ball. c'est douteux que l'Etoile sportive du Sahael aille battre le Raja de Casa in casa. Enfin si le Maroc n' aps battu samedi une equipe tunisienne crispée, maladroite et sans inspiration c'est qu'il y a une difference de caractere. jamais pendant le mtch nous n'avons vu les marocains deborder, alors que nos flancs étaient fragiles ( Trabelsi emprunté offrant le premier but au lieu de mettre en touche ou en corner), Clayton tres tot blessé, Jaîdi approximatif et perdu dans l'axe, un milieu plus que figuratif, une attaque coupée du reste. Que dire la tunisie était un epouvantail à moineaux qui ont reussi à bleuffer les lions de l'atlas. Donc, parler de tricherie tunisienne au lieu d'insister sur le manque de carcter et d'audace de l'entraineur et des joueurs marocains c'est vraiment de la mauvaise foi manifeste. Mettons cela sur le dos de la mauvaise humeur parce qu'au Maroc existent de grans sportifs qui reconnaitront que si la tunisie ne meritait pas de gagner ce match elle ne meritait pas de le perdre. Bonne chance pour les autres competitions et la Tunisie y sera.
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Messagepar Bejaoui » Lun 10 Oct 2005, 15:05

Les gars, j'ai repondu à ce journaliste par le biais de la boite email de ce journal. La reponse est reporoduite sur le premier sujet de cette rubrique. J'attend la sienne.
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